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lundi 19 novembre 2007

VISTA - Utiliser l'Administrateur caché de Vista toptitbal

Vista, comme XP, possède un compte nommé "Administrateur" mais il est caché et non activé par défaut.
Pour que ce compte apparaisse dans la liste des utilisateurs à l'écran d'accueil, la méthode est différente selon que l'on utilise une version "familiale" de Vista ou une version professionnelle (ou Ultimate).

Pour les versions Pro le plus simple est de passer par Utilisateurs et groupes locaux (lusrmgr.msc)
Il suffit de faire un clic droit sur Administrateur puis propriétés et de décocher la case "Account is desabled"

Pour les versions "familiales" il faut procéder en deux temps :
Créer la clef Administrateur dans la base de registre
Activer le compte Administrateur.
Création de la clé Administrateur dans la base de registre

Se rendre à :
HKEY_LOCAL_MACHINE\ SOFTWARE\ Microsoft\ Windows NT\ CurrentVersion\ Winlogon
Clic-droit sur Winlogon -> Nouveau -> Clé, lui donner le nom SpecialAccounts et valider.
Répéter la même opération par clic-droit sur SpecialAccounts pour créer une sous-clé UserList et [valider].
Dans la fenêtre à droite en face de UserList, clic-droit -> Nouveau -> Valeur DWORD 32 bits et lui attribuer le nom Administrateur avec la valeur 1 (clic-droit -> Modifier).
Fermer l'éditeur...
Activation du compte Administrateur
L'étape suivante consiste à activer la présence du compte Administrateur dans le choix des comptes d'utilisateurs à l'ouverture de session :
Ouvrir une fenêtre de commande (par un clic droit pour choisir de le faire en mode administrateur) et taper :
net user Administrateur /active:yes (avec un espace entre Administrateur et /)
La notifications "La commande s'est terminée correctement" confirme sa bonne exécution.
Fermer la fenêtre d'Invite...
Le résultat est immédiat, il n'est pas nécessaire de redémarrer. Il suffit de fermer la session pour voir administrateur dans la liste.

Si l'on désire cacher de nouveau "Administrateur", il suffit de porter la valeur à 0 dans la base de registre.
important

Attention, comme sous XP, il est préférable de ne pas utiliser ce compte pour le travail courant. Il faut le réserver à des dépannages et/ou à des modifications nécessitant un accès non restreint. Ne pas l'utiliser pour naviguer sur le Net car l'ordinateur serait beaucoup plus vulnérable.
 
 

samedi 3 novembre 2007

VISTA - PDF : Créer des PDF avec vista Gratuitement

doPDF 5.3.321
 
 
DoPDF s'inscrit dans la longue lignée des imprimantes PDF (CutePDF Writer, pdf995 ou encore PDFCreator). Le principe, pour ceux qui ne le connaitraient pas, est simple : le logiciel installe une imprimante virtuelle accessible depuis n'importe quel logiciel permettant l'impression. En choisissant cette imprimante, vous créez un fichier PDF à partir de votre document, lisible avec Adobe Reader (Acrobat) ou Foxit PDF Reader.

Par rapport à certains de ses concurrents, notamment CutePDF, doPDF a l'avantage de ne pas nécessiter Ghostscript puisqu'il utilise ses propres bibliothèques. L'imprimante virtuelle gère de nombreux formats de papier et des résolutions allant de 72 à 2400 DPI. L'interface est disponible dans de nombreuses langues, dont le français.


 Avis de la rédaction :  
 3.5/53.5/53.5/53.5/53.5/5  
DoPDF n'a rien d'exceptionnel mais propose une imprimante virtuelle simple à installer, fonctionnelle et en français. Si vous avez besoin d'imprimer des documents au format PDF, c'est une solution à prendre en compte.
 
Pour les Aficionados de PDFCREATOR 0.9.3
Fichier Langues :

Voici une methode pour faire fonctionner
PDF Creator sous vista, cela fonctionne trés bien chez moi
Pour être sûr j'ai mis PDFCreator-0_9_3_GPLGhostscript.exe en mode compatibilite XP et idem pour PDFCreator.exe et PDFSpooler.exe dans C:Programmes/PDFCreator.
Puis dans Propriété de l'imprimante, Port / Configurer le port, faut cocher la case "Run as User".

Autrement il existe une version Vista ShareWare: http://fr.brothersoft.com/soft-125863.download

 

 

lundi 29 octobre 2007

Accélérer Windows lors d'un accès distant

Lorsque vous explorez une machine distante (sous Win9x ou ME) avec Windows 2000 ou XP, votre OS perd du temps afin de déterminer si le "Planificateur de tâches" est activé ou non sur l'ordinateur distant. Voici comment gagner du temps en désactivant cette vérification.

Ouvrez regedit
HKEY_LOCAL_MACHINE/Software/Microsoft/Windows/CurrentVersion/Explorer/ RemoteComputer/NameSpace
Cette section comporte deux clés.
Supprimer la clé {D6277990-4C6A-11CF-8D87-00AA0060F5BF}


Le changement est prit en compte instantanément et ne nécessite pas de relancer Windows

 

mardi 23 octobre 2007

ARCSERVE : Reindexation des bases

 
Lancer le fichier cstop.bat dans:
C:\Program Files\CA\SharedComponents\BrightStor\
puis effacer tous les fichiers commençant par R
C:\Program Files\CA\BrightStor ARCserve Backup\DATABASE
fichiers : rAAAAABB.chg , rdm.chi , rdm.chk
Relancer les moteurs avec cstart.bat dans
C:\Program Files\CA\SharedComponents\BrightStor\
 
Une fois les moteurs redémarrés
image
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image
 
Les bases sont réindexées.

jeudi 18 octobre 2007

OWA et IE 7 - Problème de compatibilité

Ayant récemment installé Windows Vista sur ma machine, en me rendant sur mon webmail Exchange 2003 j'ai remarqué un bug plutôt gênant.

 

En effet suite à la suppression du "Dynamic HTML Editiong ActiveX" d'IE il est impossible d'écrire des messages.

 

Microsoft met à votre disposition un patch corrigeant OWA que vous pouvez télécharger à l'adresse suivante :

http://www.microsoft.com/downloads/details.aspx?familyid=5bc06e8a-08eb-4976-bc68-a03ebe3a2552&displaylang=en

 

Attention, votre Exchange 2003 soit avoir le SP2 d'installer avant l'application de patch.

http://www.microsoft.com/downloads/thankyou.aspx?familyId=535bef85-3096-45f8-aa43-60f1f58b3c40&displayLang=fr

 

mercredi 12 septembre 2007

BOOT.INI

Boot INI Options Reference

Published: November 1, 2006

Introduction

There are number of BOOT.INI switches that are useful for driver developers that wish to test their drivers under a variety of different system configurations without having to have a separate machine for every one. For example, limiting the amount of memory NT sees can be useful for stressing memory loads, and limiting the number of processors for testing scalability. I've compiled a complete list of the options that BOOT.INI currently supports. This list is reproduced in the Startup, Shutdown and Crashes chapter of Windows Internals, where you'll find more information about the boot process. Entries in red were introduced in Windows 2000 and those in blue introduced in Windows XP or Windows Server 2003.

Note: to see what options a system has booted with examine HKLM\System\CurrentControlSet\Control\SystemStartOptions.

/3GB

Increases the size of the user process address space from 2 GB to 3 GB (and therefore reduces the size of system space from 2 GB to 1 GB). Giving virtual-memory- intensive applications such as database servers a larger address space can improve their performance. For an application to take advantage of this feature, however, two additional conditions must be met: the system must be running Windows XP, Windows Server 2003, Windows NT 4 Enterprise Edition, Windows 2000 Advanced Server or Datacenter Server and the application .exe must be flagged as a 3-GB-aware application. Applies to 32-bit systems only.

/BASEVIDEO

Causes Windows to use the standard VGA display driver for GUI-mode operations.

/BAUDRATE=

Enables kernel-mode debugging and specifies an override for the default baud rate (19200) at which a remote kernel debugger host will connect. Example: /BAUDRATE=115200.

/BOOTLOG

Causes Windows to write a log of the boot to the file %SystemRoot%\Ntbtlog.txt.

/BOOTLOGO

Use this switch to have Windows XP or Windows Server 2003 display an installable splash screen instead of the standard splash screen. First, create a 16-color (any 16 colors) 640x480 bitmap and save it in the Windows directory with the name Boot.bmp. Then add "/bootlogo /noguiboot" to the boot.ini selection.

/BREAK

Causes the hardware abstraction layer (HAL) to stop at a breakpoint at HAL initialization. The first thing the Windows kernel does when it initializes is to initialize the HAL, so this breakpoint is the earliest one possible. The HAL will wait indefinitely at the breakpoint until a kernel-debugger connection is made. If the switch is used without the /DEBUG switch, the system will Blue Screen with a STOP code of 0x00000078 (PHASE0_ EXCEPTION).

/BURNMEMORY=

Specifies an amount of memory Windows can't use (similar to the /MAXMEM switch). The value is specified in megabytes. Example: /BURNMEMORY=128 would indicate that Windows can't use 128 MB of the total physical memory on the machine.

/CHANNEL=

Used on conjunction with /DEBUGPORT=1394 to specify the IEEE 1394 channel through which kernel debugging communications will flow. This can be any number between 0 and 62 and defaults to 0 if not set.

/CLKLVL

Causes the standard x86 multiprocessor HAL (Halmps.dll) to configure itself for a level-sensitive system clock rather then an edge-triggered clock. Level-sensitive and edge-triggered are terms used to describe hardware interrupt types.

/CMDCONS

Passed when booting with into the Recovery Console (described later in this chapter).

/CRASHDEBUG

Causes the kernel debugger to be loaded when the system boots, but to remain inactive unless a crash occurs. This allows the serial port that the kernel debugger would use to be available for use by the system until the system crashes (vs. /DEBUG, which causes the kernel debugger to use the serial port for the life of the system session).

/DEBUG

Enables kernel-mode debugging.

/DEBUGPORT=

Enables kernel-mode debugging and specifies an override for the default serial (usually COM2 on systems with at least two serial ports) to which a remote kernel-debugger host is connected. Windows XP and Windows Server 2003 also support debugging through accept IEEE 1394 ports. Examples: /DEBUGPORT=COM2, /DEBUGPORT=1394.

/EXECUTE

This option disables no-execute protection. See the /NOEXECUTE switch for more information.

/FASTDETECT

Default boot option for Windows. Replaces the Windows NT 4 switch /NOSERIALMICE. The reason the qualifier exists (vs. just having NTDETECT perform this operation by default) is so that NTDETECT can support booting Windows NT 4. Windows Plug and Play device drivers perform detection of parallel and serial devices, but Windows NT 4 expects NTDETECT to perform the detection. Thus, specifying /FASTDETECT causes NTDETECT to skip parallel and serial device enumeration (actions that are not required when booting Windows), whereas omitting the switch causes NTDETECT to perform this enumeration (which is required for booting Windows NT 4).

/INTAFFINITY

Directs the standard x86 multiprocessor HAL (Halmps.dll) to set interrupt affinities such that only the highest numbered processor will receive interrupts. Without the switch, the HAL defaults to its normal behavior of letting all processors receive interrupts.

/KERNEL=/HAL=

Enable you to override Ntldr's default filename for the kernel image (Ntoskrnl.exe) and/or the HAL (Hal.dll). These options are useful for alternating between a checked kernel environment and a free (retail) kernel environment or even to manually select a different HAL. If you want to boot a checked environment that consists solely of the checked kernel and HAL, which is typically all that is needed to test drivers, follow these steps on a system installed with the free build:

Copy the checked versions of the kernel images from the checked build CD to your \Windows\System32 directory, giving the images different names than the default. For example, if you're on a uniprocessor, copy Ntoskrnl.exe to Ntoschk.exe and Ntkrnlpa.exe to Ntoschkpa.exe. If you're on a multiprocessor, copy Ntkrnlmp.exe to Ntoschk.exe and Ntkrpamp.exe to Ntoschkpa.exe. The kernel filename must be an 8.3-style short name.

Copy the checked version of the appropriate HAL needed for your system from \I386\Driver.cab on the checked build CD to your \Windows\System32 directory, naming it Halchk.dll. To determine which HAL to copy, open \Windows\Repair\Setup.log and search for Hal.dll; you'll find a line like \WINDOWS\system32\ hal.dll="halacpi.dll","1d8a1". The name immediately to the right of the equals sign is the name of the HAL you should copy. The HAL filename must be an 8.3-style short name.

Make a copy of the default line in the system's Boot.ini file.

In the string description of the boot selection, add something that indicates that the new selection will be for a checked build environment (for example, "Windows XP Professional Checked").

Add the following to the end of the new selection's line: /KERNEL=NTOSCHK.EXE /HAL= HALCHK.DLL

Now when the selection menu appears during the boot process you can select the new entry to boot a checked environment or select the entry you were using to boot the free build.

/LASTKNOWNGOOD

Causes the system to boot as if the LastKnownGood boot option was selected.

/MAXMEM=

Limits Windows to ignore (not use) physical memory beyond the amount indicated. The number is interpreted in megabytes. Example: /MAXMEM=32 would limit the system to using the first 32 MB of physical memory even if more were present.

/MAXPROCSPERCLUSTER=

For the standard x86 multiprocessor HAL (Halmps.dll), forces cluster-mode Advanced Programmable Interrupt Controller (APIC) addressing (not supported on systems with an 82489DX external APIC interrupt controller).

/MININT

This option is used by Windows PE (Preinstallation Environment) and causes the Configuration Manager to load the Registry SYSTEM hive as a volatile hive such that changes made to it in memory are not saved back to the hive image.

/NODEBUG

Prevents kernel-mode debugging from being initialized. Overrides the specification of any of the three debug-related switches, /DEBUG, /DEBUGPORT, and /BAUDRATE.

/NOEXECUTE

This option is only available on 32-bit versions of Windows when running on processors supporting no-execute protection. It enables no-execute protection (also known as Data Execution Protection - DEP), which results in the Memory Manager marking pages containing data as no-execute so that they cannot be executed as code. This can be useful for preventing malicious code from exploiting buffer overflow bugs with unexpected program input in order to execute arbitrary code. No-execute protection is always enabled on 64-bit versions of Windows on processors that support no-execute protection. There are several options you can specify with this switch:

/NOEXECUTE=OPTIN Enables DEP for core system images and those specified in the DEP configuration dialog.

/NOEXECUTE=OPTOUT Enables DEP for all images except those specified in the DEP configuration dialog.

/NOEXECUTE=ALWAYSON Enables DEP on all images.

/NOEXECUTE=ALWAYSOFF Disables DEP.

/NOGUIBOOT

Instructs Windows not to initialize the VGA video driver responsible for presenting bitmapped graphics during the boot process. The driver is used to display boot progress information, so disabling it will disable the ability of Windows to show this information.

/NOLOWMEM

Requires that the /PAE switch be present and that the system have more than 4 GB of physical memory. If these conditions are met, the PAE-enabled version of the Windows kernel, Ntkrnlpa.exe, won't use the first 4 GB of physical memory. Instead, it will load all applications and device drivers, and allocate all memory pools, from above that boundary. This switch is useful only to test device driver compatibility with large memory systems.

/NOPAE

Forces Ntldr to load the non-Physical Address Extension (PAE) version of the Windows kernel, even if the system is detected as supporting x86 PAEs and has more than 4 GB of physical memory.

/NOSERIALMICE=[COMx | COMx,y,z...]

Obsolete Windows NT 4 qualifier-replaced by the absence of the /FASTDETECT switch. Disables serial mouse detection of the specified COM ports. This switch was used if you had a device other than a mouse attached to a serial port during the startup sequence. Using /NOSERIALMICE without specifying a COM port disables serial mouse detection on all COM ports. See Microsoft Knowledge Base article Q131976 for more information.

/NUMPROC=

Specifies the number of CPUs that can be used on a multiprocessor system. Example: /NUMPROC=2 on a four-way system will prevent Windows from using two of the four processors.

/ONECPU

Causes Windows to use only one CPU on a multiprocessor system.

/PAE

Causes Ntldr to load Ntkrnlpa.exe, which is the version of the x86 kernel that is able to take advantage of x86 PAEs. The PAE version of the kernel presents 64-bit physical addresses to device drivers, so this switch is helpful for testing device driver support for large memory systems.

/PCILOCK

Stops Windows from dynamically assigning IO/IRQ resources to PCI devices and leaves the devices configured by the BIOS. See Microsoft Knowledge Base article Q148501 for more information.

/RDPATH=

Specifies the path to a System Disk Image (SDI) file, which can be on the network, that the system will use to boot from. Often used in conjunction with the /RDIMAGEOFFSET= flag to indicate to NTLDR where in the file the system image starts.

/REDIRECT

Introduced with Windows XP. Used to cause Windows to enable Emergency Management Services (EMS) that reports boot information and accepts system management commands through a serial port. Specify serial port and baudrate used in conjunction with EMS with redirect= and redirectbaudrate= lines in the [boot loader] section of the Boot.ini file.

/SAFEBOOT:

Specifies options for a safe boot. You should never have to specify this option manually, since Ntldr specifies it for you when you use the F8 menu to perform a safe boot. (A safe boot is a boot in which Windows only loads drivers and services that are specified by name or group under the Minimal or Network registry keys under HKLM\SYSTEM\CurrentControlSet\Control\SafeBoot.) Following the colon in the option you must specify one of three additional switches: MINIMAL, NETWORK, or DSREPAIR. The MINIMAL and NETWORK flags correspond to safe boot with no network and safe boot with network support, respectively. The DSREPAIR (Directory Services Repair) switch causes Windows to boot into a mode in which it restores the Active Directory directory service from a backup medium you present. An additional option you can append is (ALTERNATESHELL), which tells Windows to use the program specified by the HKLM\SYSTEM\CurrentControlSet\ SafeBoot\AlternateShell value as the graphical shell rather than to use the default, which is Windows Explorer.

/SCSIORDINAL:

Directs Windows to the SCSI ID of the controller. (Adding a new SCSI device to a system with an on-board SCSI controller can cause the controller's SCSI ID to change.) See Microsoft Knowledge Base article Q103625 for more information.

/SDIBOOT=

Used in Windows XP Embedded systems to have Windows boot from a RAM disk image stored in the specified System Disk Image (SDI) file.

/SOS

Causes Windows to list the device drivers marked to load at boot time and then to display the system version number (including the build number), amount of physical memory, and number of processors.

/TIMERES=

Sets the resolution of the system timer on the standard x86 multiprocessor HAL (Halmps.dll). The argument is a number interpreted in hundreds of nanoseconds, but the rate is set to the closest resolution the HAL supports that isn't larger than the one requested. The HAL supports the following resolutions: Hundreds of nanoseconds Milliseconds (ms) 9766 0.98 19532 2.00 39063 3.90 78125 7.80 The default resolution is 7.8 ms. The system timer resolution affects the resolution of waitable timers. Example: /TIMERES=21000 would set the timer to a resolution of 2.0 ms.

/USERVA=

This switch is only supported on Windows XP and Windows Server 2003. Like the /3GB switch, this switch gives applications a larger address space. Specify the amount in MB between 2048 and 3072. This switch has the same application requirements as the /3GB switch and requires that the /3GB switch be present. Applies to 32-bit systems only.

/WIN95

Directs Ntldr to boot the Consumer Windows boot sector stored in Bootsect.w40. This switch is pertinent only on a triple-boot system that has MS-DOS, Consumer Windows, and Windows installed. See Microsoft Knowledge Base article Q157992 for more information.

/WIN95DOS

Directs Ntldr to boot the MS-DOS boot sector stored in Bootsect.dos. This switch is pertinent only on a triple-boot system that has MS-DOS, Consumer Windows, and Windows installed. See Microsoft Knowledge Base article Q157992 for more information.

/YEAR=

Instructs the Windows core time function to ignore the year that the computer's real-time clock reports and instead use the one indicated. Thus, the year used in the switch affects every piece of software on the system, including the Windows kernel. Example: /YEAR=2001. (This switch was created to assist in Y2K testing.)

Thanks to Jonas Fischer for pointing out the PCILOCK and NOSERIALMICE switches. Thanks to Rob Green for information on the FASTDETECT switch.

mercredi 29 août 2007

ROOTKIT du MOMENT "Spyware-Secure" E.T.C... (29/08/2007)

SPYBOT et SPYWARE DOCTOR ne peuvent rien contre les Rootkits du moment .

Utiliser ce fichier gratuit qui est efficace, pour l'instant.


Qu'est ce qu'un Rootkit
Ensemble de logiciels, de mécanismes et de techniques permettant à un individu malveillant ayant accès à un ordinateur d'en devenir administrateur (utilisateur spécifique possédant les droits les plus étendus et susceptible d'accomplir les actions les plus diverses) et de s'y maintenir en dissimulant son activité aux yeux du système. Par extension, programme malicieux ou non capable de dissimuler son existence et son activité aux utilisateurs et aux moyens de détection classiques (antivirus, antispywares), sans pour autant permettre la prise de contrôle de l'ordinateur. Il existe désormais des
logiciels antirootkits pour rechercher et éliminer les rootkits.

dimanche 19 août 2007

Vista - Accès impossible à certaines pages, problème d'émails

Sous Vista, la couche TCP/IP s'optimise automatiquement. Dans certains cas de figure, cette fonction est incompatible avec certains modems/routeurs et il convient alors de la désactiver.
Cliquez sur Démarrer, Exécuter, tapez cmd et ensuite tapez :

netsh int tcp set global autotuninglevel=disabled

Si vous avez besoin de la réactiver, tapez :
netsh int tcp set global autotuninglevel=enabled

 

samedi 18 août 2007

XP - Réinitialiser le protocole TCP/IP

L'utilitaire NetShell vous permet de restaurer en cas de problème, l'état de la pile TCP/IP qui existait lors de l'installation du système d'exploitation.
Ouvrez une fenêtre de commande DOS et entrez la commande suivante :
netsh int ip reset c:\resetlog.txt
Cela aura pour effet de remettre le protocole TCP/IP dans le même état qu'après une installation de windows...

 

samedi 14 juillet 2007

SPEEDTOUCH - Reset Configuration

Pour réinitialiser le Speedtouch avec ses valeurs par défaut (@10.0.0.138 sans mot de passe d'accès) il faut suivre la procédure suivante :

1/ Assurez-vous que le SpeedTouch est hors tension.
2/ Appuyez une fois (brièvement) sur le bouton.
3/ Dès que le voyant Alimentation/Système se met à clignoter (en vert), appuyez une nouvelle fois sur le bouton d'alimentation.
4/ Le voyant Alimentation/Système cesse de clignoter et passe au vert fixe.
5/ Après six secondes, il recommence à clignoter. Appuyez de nouveau une fois (brièvement) sur le bouton.
6/ Tous les voyants clignotent une seule fois (en vert).
Les paramètres par défaut du SpeedTouch sont rétablis.

Petit Rappel :
Par défaut, le modem est à l'adresse 10.0.0.138. Pour le configurer, il faut donc relier son interface ethernet au réseau local, par exemple avec un câble entre la carte réseau de l'ordinateur et la prise RJ45 du modem, et s'assurer que la carte réseau de l'ordinateur est configurée correctement, le protocole TCP-IP installé dans une classe d'adresse compatible avec l'adresse par défaut du modem (exemple 10.0.0.1, masque 255.255.255.0).

vendredi 13 juillet 2007

SPEEDTOUCH - Installation et Configuration

Configuration du SpeedTouch 510 v4/v5/v6 facile V5.0
Le ST510v4 est livré dans sa version 4.2.3.0 du microcode (firmware) avec un programme intégré de configuration appelé Easy Setup, ainsi que 3 profils standards : PPPoA, PPPoE et Bridge, qui sont disponibles pour la quasi totalité des configurations (hors Free dégroupé).
Pour tous les fournisseurs d'accès hors Free, il est recommandé d'utiliser le profil PPPoA, mais PPPoE fonctionnera aussi. Ces 2 profils configureront votre ST510v4 en mode routeur, c'est à
dire que le NAPT est activé. Le serveur DHCP est en mode auto et le parefeu (firewall) activé.
Le profil "Bridge", c'est à dire "Ponté" désactive le routeur. On peut utiliser le mode "Bridge" pour utiliser le ST510v4 comme un simple modem, mais il est possible d'activer aussi dans ce mode le serveur DHCP pour le réseau local avec le programme de configuration.
Le ST510v5 à les même fonctionalité mais le menu d'accès est 'caché'. Le ST510v6 livré par Wanadoo semble bridé d'origine sur les fonctions routeurs. Il faut a priori changer le fireware.
Un site interressant :
http://bsk099.free.fr/ST510v6.

Interface web du routeur
Sur l'image ci-dessous, on peut voir l'écran de l'interface web qui permet d'accéder à Easy Setup.


Rappel :
Par défaut, le modem est à l'adresse 10.0.0.138. Pour le configurer, il faut donc relier son interface ethernet au réseau local, par exemple avec un câble entre la carte réseau de l'ordinateur et la prise RJ45 du modem, et s'assurer que la carte réseau de l'ordinateur est configurée correctement, le protocole TCP-IP installé dans une classe d'adresse compatible avec l'adresse par défaut du modem (exemple 10.0.0.1, masque 255.255.255.0).

Il suffit donc de lancer son navigateur à l'adresse http://10.0.0.138 pour le 510v4, ou http://10.0.0.138/ewizard.htm pour le 510v5, pour que cet écran s'affiche (si le ST510v4 demande un mot de passe ou que l'écran ne s'affiche pas, effectuez la procédure de réinitialisation*). Il faut ensuite dérouler le menu "Advanced" (1), le choix " Templates" (2) montre quels sont les profils disponibles, et pour lancer le programme de configuration, il suffit de cliquer sur Easy Setup (3).

Easy Setup
Ecran d'accueil : Sur cet écran, pas grand chose à dire, il faut cliquer sur Next.


Choix du profil :
Cet écran permet de sélectionner le profil désiré dans la fenêtre supérieure, après cette sélection on clique sur next



Choix des canaux ATM
Le programme demande de choisir le couple VPI/VCI, ce sera dans la quasi totalité des cas 8.35 (sauf Free dégroupé 8.36).




Sur l'écran ci-contre, on peut voir qu'il s'agit du profil PPPoA, le plus couramment utilisé. Avec le profil "Bridge" et le profil "PPPoE", une option supplémentaire est disponible sous forme d'une case cochée par défaut: "autoconfigured" (ne pas modifier). Cliquez sur next pour passer à l'écran suivant.



Pour le profil PPPoA :
Cet écran n'est demandé que pour le profil PPPoA, il suffit de
renseigner le nom d'utilisateur (user name) et le mot de passe
(password) pour se connecter chez votre FAI.



Cliquez sur next pour passer à l'écran suivant



Pour tous les profils :
Vous avez la possibilité, recommandé, de protéger l'accès ultérieur à
votre Speedtouch par un nom d'utilisateur (user name) et un mot de
passe (password) qu'il faut confirmer.


Cliquez sur next pour passer à l'écran suivant.

Pour tous les profils :
Voici le dernier écran, il affiche un rappel des choix. En cliquant
sur "Start", votre Speedtouch est configuré automatiquement, il se
réinitialise et se connecte tout seul (sauf en mode "Bridge").


En mode routeur, vous aurez la possibilité également de configurer des
règles NAPT avec l'interface web, activer / désactiver le serveur DHCP
(automatique par défaut) activer / désactiver le serveur DNS (activé
par défaut) activer / désactiver l'UPnP (activé par défaut) ...


http://www.eldin.net/routeurs/speedtouch510/speedtouch510v4.html

vendredi 29 juin 2007

IE7 - RunOnce intempestif

Windows Registry Editor Version 5.00
[HKEY_CURRENT_USER\Software\Microsoft\Internet Explorer\Main]
"RunOnceHasShown"=dword:00000001
"RunOnceComplete"=dword:00000001


le cas échéant supprimer
HKEY_CURRENT_USER\Software\Microsoft\Internet Explorer\Main\First Home Page

mercredi 20 juin 2007

TELNET - Lire et poster le courrier

Ce document traite sommairement de la manière de lire son courrier sur un serveur POP3 et de poster sur un serveur SMTP. Accessoirement, l'on y trouvera la méthode pour enlever sans le charger un message comportant en pièce jointe la dernière version du kernel Linux (TM) envoyé par un courageux anonyme et pure méchanceté.

Références
Lire son courrier
Effacer un message encombrant
Poster un message
Peut-on lire et poster avec autre chose que telnet ?
Remerciements

Références

Le lecteur sera bien inspiré de commencer par lire la documentation AVANT de commencer à poster.
Les RFC sont disponibles aux endroits habituels (par exemple ftp://ftp.lip6.fr/pub/rfc/rfc) et les "drafts" (brouillons) des sus-dits RFC juste à côté (ftp://ftp.lip6.fr/pub/rfc/internet-drafts).

  • RFC1939 Post Office Protocol - Version 3. J. Myers & M. Rose. May 1996. (Format: TXT=47018 bytes) (Obsoletes RFC1725) (Updated by RFC1957, RFC2449) (Also STD0053) (Status: STANDARD) rfc1939.zip
  • RFC1957 Some Observations on Implementations of the Post Office Protocol (POP3). R. Nelson. June 1996. (Format: TXT=2325 bytes) (Updates RFC1939) (Status: INFORMATIONAL)
  • RFC2449 POP3 Extension Mechanism. R. Gellens, C. Newman, L. Lundblade. November 1998. (Format: TXT=36017 bytes) (Updates RFC1939) (Status: PROPOSED STANDARD)
  • RFC0821 Simple Mail Transfer Protocol. J. Postel. Aug-01-1982. (Format: TXT=124482 bytes) (Obsoletes RFC0788) (Also STD0010) (Status: STANDARD) rfc821.zip
  • RFC2505 Anti-Spam Recommendations for SMTP MTAs. G. Lindberg. February 1999. (Format: TXT=53597 bytes) (Also BCP0030) (Status: BEST CURRENT PRACTICE)

Lire son courrier

La connexion au serveur se fait sur le port 11O (POP3) :

telnet pop3.chez.mon.fai pop3
Trying 192.168.1.1...
Connected to pop3.chez.mon.fai.
Escape character is '^]'.
+OK pop3.chez.mon.fai POP3 Server (Version 1.006d) ready at <Sun Feb 27 10:13:32 2000>
user toto
+OK please send PASS command
pass R5fg6Yh9
+OK 2 messages ready for toto
stat
+OK 2 1558
list
+OK 2 messages; msg# and size (in octets) for undeleted messages:
1 780
2 778
.
list 2
2 778

Bon, là on vient de voir comment se connecter (USR et PASS), comment avoir le total des messages (STAT) et quelques détails (LIST avec ou sans le numéro du message).

Maintenant lisons le courrier :

RETR 1
+OK message 1 (780 octets):
Return-Path: <titi@chez.lui>
Received: from [blabla chemin suivi par le message]
From: titi@chez.lui <Gros Titi>
To: toto@chez.mon.fai
Subject: Bonjour
Date: : Thu, 17 Feb 2000 21:38:05 +0100
Message-ID: <123456789.abcdefgh@mail.chez.lui>
 
blabla
blabla
 
.

Et si le message est trop long ?
Demandons à n'afficher que les 5 premières lignes du message numéro 2 :

top 2 5
[les en-têtes + la ligne blanche + les 5 premières lignes qui suivent]

Si le message est long, faire top 5 puis top 25 puis top 45 etc.

Et l'on quitte proprement (les messages lus restent dans la boîte aux lettres) :

quit
+OK pop3.chez.mon.fai POP3 Server (Version 1.006d) shutdown.
Connection closed by foreign host.

Effacer un message encombrant

Avec votre client mail habituel, le temps de chargement du courrier est excessivement long. Vous avez donc décidé d'aller voir avec telnet (se connecter comme indiqué ci-dessus) :

+OK 4 messages ready for toto
stat
+OK 4 25536114
list
+OK 4 messages; msg# and size (in octets) for undeleted messages:
1 1821
2 1819
3 1125
4 25530249

On regarde le message 4 de plus près :

top 4 15
+OK message 4 (25530249 octets):
Return-Path: <anonyme@nowhere>
Received: from [blabla chemin (truqué) suivi par le message]
From: anonyme@nowhere <un ami>
To: toto@chez.mon.fai
Subject: gnac gnac
Date: : Thu, 17 Feb 2000 21:38:05 +0100
Message-ID: <666@hell.angels>
MIME-Version: 1.0
boundary="------------83029AF363701F0491305448"
Status: O
Content-Length: 25184118
Lines: 344997
 
This is a multi-part message in MIME format.
--------------83029AF363701F0491305448
Content-Type: text/plain; charset=us-ascii
Content-Transfer-Encoding: 7bit
 
Un cadeau de la part d'un neuneu
--------------83029AF363701F0491305448
Content-Type: application/x-gzip;
name="linux-2.3.45.tar.gz"
Content-Transfer-Encoding: base64
Content-Disposition: inline;
filename="linux-2.3.45.tar.gz"
 
H4sIAJxzpzgCA+w8aXfixrLz1foVHYbE4FgCvE0Gx3ODAY+5w3YAz2RePEcWkjCKtV0tXrK8
3/6qehGSQDa57yRvOeFYW1d3dXVVdXV1dbdty40fa6/+1F+9flR/c3wMz/pB/eAEn/XGEf0W
.

Bon, à vue de nez, c'est un cadeau d'un admirateur.
Pour effacer la chose :

dele 4
+OK message 4 marked for deletion
list
+OK 4 messages; msg# and size (in octets) for undeleted messages:
1 1821
2 1819
3 1125
.

L'effacement du message se fait après que l'on a quitté le serveur POP3 de façon normale par la commande quit.
Si l'on change d'avis avant de quitter, la commande RSET est bienvenue :

REST
+OK 4 messages ready for toto
list 4
+OK 4 25530249
dele 4
+OK message 4 marked for deletion
quit

Vous pouvez signaler les abus dans le groupe Usenet prévu à cet effet fr.usenet.abus.d.
Vous trouverez dans ce même groupe des pointeurs vers les documentations.

Poster un message

La connexion au serveur se fait sur le port 25 (SMTP) :

telnet smtp.chez.mon.fai. smtp
Trying 192.168.1.1...
Connected to smtp.chez.mon.fai.
Escape character is '^]'.
220 smtp.chez.mon.fai ESMTP Sendmail 8.9.3/8.9.3; Sun, 27 Feb 2000 15:58:15 +0100

L'on remarque tout de suite le ESMPT avec un "E" comme étendu : le serveur accepte le 8-bits.
Disons-lui bonjour en lui indiquent que nous aussi nous parlons le 8-bits couramment en répondant ehlo (s'il nous dit simplement SMTP nous répondrons HELO) suivi de notre nom de domaine. Le serveur n'est pas trop regardant sur la distinction majuscules / minuscules tant que l'on n'est pas dans les en-têtes ou dans le corps du message.

ehlo chez.mon.fai
250-smtp.chez.mon.fai Hello toto@ppp136.chez.mon.fai [192.168.1.2], pleased to meet you
250-EXPN
250-VERB
250-8BITMIME
250-SIZE
250-DSN
250-ONEX
250-ETRN
250-XUSR
250 HELP

On commence par écrire l'enveloppe :

mail from: toto@chez.mon.fai
250 toto@chez.mon.fai... Sender ok
rcpt to: titi@chez.lui
titi@chez.lui... Recipient ok
data
354 Enter mail, end with "." on a line by itself

Notons au passage que vous pouvez poster a) chez votre fournisseur à destination de n'importe qui à partir de chez vous, ou b) parfois sur un serveur smtp quelconque à destination d'un des clients du dit serveur, mais pas c) sur n'importe quel serveur pour n'importe qui à partir de n'importe où (message du type 550 titi@hop.la... Relaying denied ; c'est bien fait, non mais, tous les serveurs ne sont pas mal configurés.)
Maintenant passons aux en-têtes - certains champs dont la date et le Message-ID seront rajoutés par le serveur SMTP - en faisant bien attention à la syntaxe (majuscule initiale, minuscule, pas d'espace avant ":" mais une espace après) puis au texte du message séparé par une ligne blanche. Tout ça se finit par une ligne ne comportant qu'un point ".", et l'on quite par la commande quit si l'on a fini.

From: toto@chez.mon.fai
To: titi@chez.lui
Subject: test (de veau)
 
blabla
blabla
.
250 WAA11355 Message accepted for delivery
quit
221 smtp.chez.mon.fai closing connection
Connection closed by foreign host.

Un certain nombre d'en-têtes sont classiquement reconnus par les logiciels de courrier, on aura par exemple :

Organization: bof
X-Mailer: Linux netkit-telnet 0.14

L'on évitera soigneusement de mettre des accents dans les en-têtes.

Finissons en disant que l'accès aux serveurs SMTP est encore moins sécurisé que celui aux serveurs POP3, il n'y a même pas de mot de passe...

Peut-on lire et écrire avec autre chose que telnet ?

Il semblerait que oui.
Éric Jacoboni, a publié un article intitulé Gérer son courrier avec Perl dans le numéro 8 de juillet/août 1999 de Linux Magazine France.
Mutt (http://www.mutt.org) semble un très bon choix en mode texte.

Remerciements

Nous remercions les auteurs de telnet, TCP/IP, Linux, BSD, Sendmail, Postfix, et de tous ces jolis logiciels et belles documentations, sans qui l'on ne passerait pas tant de temps à discuter de choses et d'autres plus ou moins utiles (mais ça ne fait pas de mal).

Dernière mise à jour le dimanche 27 février 2000

 

OUTLOOK - Configuration POP Gmail

Les informations fournies ci-dessous sont également disponibles sous la forme d'une démonstration animée : Service POP Gmail

  1. Activez le protocole POP dans votre compte Gmail.
  2. Ouvrez Outlook 2003.
  3. Dans le menu Outils, choisissez Comptes de messagerie.
  4. Sélectionnez Ajouter un nouveau compte de messagerie et cliquez sur Suivant.
  5. Cliquez sur la case d'option associée au type de serveur POP3 et cliquez sur Suivant.
  6. Complétez les champs nécessaires avec les informations suivantes :

Informations sur l'utilisateur
Votre nom : entrez votre nom tel qu'il doit apparaître dans le champ De : des messages sortants.
Adresse de messagerie : entrez votre adresse e-mail Gmail complète (nom d'utilisateur@gmail.com).

Informations sur le serveur
Serveur de courrier entrant (POP3) : pop.gmail.com
Serveur de courrier sortant (SMTP) : smtp.gmail.com

Informations de connexion
Nom d'utilisateur : entrez votre nom d'utilisateur Gmail (@gmail.com compris).
Mot de passe : entrez votre mot de passe Gmail.

  1. Cliquez sur Paramètres supplémentaires et accédez à l'onglet Serveur sortant.
  2. Cochez la case Mon serveur sortant (SMTP) requiert une authentification et sélectionnez Utiliser les mêmes paramètres que mon serveur de courrier entrant.
  3. Cliquez sur l'onglet Avancé et cochez la case Ce serveur nécessite une connexion cryptée (SSL) sous Serveur entrant (POP3).
  4. Cochez la case Ce serveur nécessite une connexion cryptée (SSL) sous Serveur sortant (SMTP) et entrez 465 dans le champ associé à cette option.
  5. Cliquez sur OK.
  6. Cliquez sur Tester les paramètres du compte... après l'affichage du message Félicitations ! Tous les tests se sont déroulés avec succès. Cliquez sur Fermer pour continuer.
  7. Cliquez sur Suivant, puis sur Terminer.

* Avez-vous cliqué sur Enregistrer les modifications après l'activation du protocole POP dans Gmail ? Pour permettre à Gmail de communiquer avec votre client de messagerie, n'oubliez pas de cliquer sur Enregistrer les modifications sur la page Paramètres de messagerie.

lundi 4 juin 2007

WINDOWS - ROLES et FSMO

Certaines opérations à l'échelle du domaine et de l'entreprise qui ne sont pas adaptées aux mises à jour multimaîtres sont effectuées par un contrôleur de domaine unique dans un domaine ou une forêt Active Directory. Les contrôleurs de domaine qui sont assignés pour effectuer ces opérations uniques portent le nom de maîtres d'opérations ou de détenteurs de rôles FSMO.

La liste suivante décrit les 5 rôles FSMO uniques dans une forêt Active Directory et les opérations dépendantes qu'ils effectuent :

Contrôleur de schéma - Le rôle de contrôleur de schéma est à l'échelle de la forêt et il y en a un pour chaque forêt. Ce rôle est nécessaire pour étendre le schéma d'une forêt Active Directory ou pour exécuter la commande adprep /domainprep.

Maître d'opérations des noms de domaine - Le maître d'opérations des noms de domaine est à l'échelle de la forêt et il y en a un pour chaque forêt. Ce rôle est nécessaire pour ajouter ou supprimer des domaines ou des partitions d'applications dans une forêt.

Maître RID - Le rôle de maître RID est à l'échelle du domaine et il y en a un pour chaque domaine. Ce rôle est nécessaire pour allouer la réserve RID afin que les contrôleurs de domaine nouveaux ou existants puissent créer des comptes d'utilisateurs, des comptes d'ordinateurs ou des groupes de sécurité.

Émulateur PDC - Le rôle d'émulateur PDC est à l'échelle du domaine et il y en a un pour chaque domaine. Ce rôle est nécessaire pour le contrôleur de domaine qui envoie des mises à jour de base de données aux contrôleurs de domaine secondaires Windows NT. Le contrôleur de domaine qui détient ce rôle est ciblé également par certains outils d'administration et certaines mises à jour de mots de passe de comptes d'utilisateurs et de comptes d'ordinateurs.

Maître d'infrastructure - Le rôle de maître d'infrastructure est à l'échelle du domaine et il y en a un pour chaque domaine. Ce rôle est nécessaire aux contrôleurs de domaine pour exécuter la commande adprep /forestprep avec succès et mettre à jour les attributs SID et attributs de noms uniques pour les objets qui sont référencés d'un domaine à un autre.

L'Assistant Installation d'Active Directory (Dcpromo.exe) assigne tous les 5 rôles FSMO au premier contrôleur de domaine dans le domaine racine de forêt. Les trois rôles à l'échelle du domaine sont assignés au premier contrôleur de domaine dans chaque nouveau domaine enfant ou domaine d'arborescence. Les contrôleurs de domaine continuent de détenir des rôles FSMO jusqu'à ce qu'ils soient réassignés par le biais d'une des méthodes suivantes :

Un administrateur réassigne le rôle à l'aide d'un outil d'administration à interface graphique.

Un administrateur réassigne le rôle à l'aide de la commande ntdsutil /roles.

Un administrateur rétrograde gracieusement un contrôleur de domaine détenteur de rôle par le biais de l'Assistant Installation d'Active Directory. Cet Assistant réassigne tout rôle détenu localement à un contrôleur de domaine existant dans la forêt. Les rétrogradations effectuées à l'aide de la commande dcpromo /forceremoval laissent les rôles FSMO dans un état non valide jusqu'à ce qu'ils soient réassignés par un administrateur.

Nous recommandons de transférer des rôles FSMO dans les scénarios suivants :

Le détenteur de rôle actuel est opérationnel et accessible sur le réseau par le nouveau propriétaire FSMO.

Vous rétrogradez gracieusement un contrôleur de domaine qui détient actuellement des rôles FSMO que vous souhaitez assigner à un contrôleur de domaine spécifique dans votre forêt Active Directory.

Le contrôleur de domaine qui détient actuellement des rôles FSMO est placé hors connexion pour des opérations de maintenance planifiées et certains rôles FSMO spécifiques doivent être assignés à un contrôleur de domaine « live ». Cela peut être requis pour effectuer des opérations qui assurent une connexion au propriétaire FSMO. Cela serait particulièrement vrai pour le rôle d'émulateur PDC, mais moins vrai pour le rôle de maître RID, le rôle de maître d'opérations des noms de domaine et le rôle de contrôleur de schéma.

Nous recommandons de prendre des rôles FSMO dans les scénarios suivants :

Le détenteur de rôle actuel rencontre une erreur opérationnelle qui empêche une opération FSMO de se terminer avec succès et ce rôle ne peut pas être transféré.

Un contrôleur de domaine qui possède un rôle FSMO est rétrogradé de force à l'aide de la commande dcpromo /forceremoval.

Le système d'exploitation de l'ordinateur qui détenait à l'origine un rôle spécifique n'existe plus ou a été réinstallé.

Lors de la réplication, les contrôleurs de domaine non-FSMO du domaine ou de la forêt sont informés de toutes les modifications apportées par les contrôleurs de domaine détenteurs de rôles FSMO. Si vous devez transférer un rôle, le meilleur candidat est un contrôleur de domaine qui se trouve dans le domaine approprié qui a effectué la dernière réplication entrante (ou récemment effectué une réplication entrante) d'une copie accessible en écriture de la « partition FSMO » à partir du détenteur de rôle existant. Par exemple, le détenteur du rôle de contrôleur de schéma a comme chemin de nom unique CN=schema,CN=configuration,dc=<domaine_racine_forêt>, ce qui signifie que des rôles sont répliqués dans le cadre de la partition CN=schema et résident dans celle-ci. Si le contrôleur de domaine qui détient le rôle de contrôleur de schéma rencontre une panne matérielle ou logicielle, un bon candidat pour le rôle serait un contrôleur de domaine du domaine racine situé dans le même site Active Directory que le propriétaire actuel. Les contrôleurs de domaine situés dans le même site Active Directory effectuent la réplication entrante toutes les 5 minutes ou 15 secondes.

La partition de chaque rôle FSMO est répertoriée dans la liste suivante :

Rôle FSMO

Partition

Schéma

CN=Schema,CN=configuration,DC=<domaine_racine_forêt>

maître d'opérations des noms de domaine

CN=configuration,DC=<domaine_racine_forêt>

Émulateur PDC

DC=<domaine>

RID

DC=<domaine>

Infrastructure

DC=<domaine>



Un contrôleur de domaine dont les rôles FSMO ont été pris ne doit pas être autorisé à communiquer avec les contrôleurs de domaine existants dans la forêt. Dans ce scénario, vous devez soit formater le disque dur et réinstaller le système d'exploitation sur ces contrôleurs de domaine, soit forcer leur rétrogradation sur un réseau privé puis supprimer leurs métadonnées sur un contrôleur de domaine survivant dans la forêt par le biais de la commande ntdsutil /metadata cleanup. Le risque posé par l'introduction dans la forêt d'un ancien détenteur de rôle FSMO dont le rôle a été pris est que le détenteur de rôle d'origine peut continuer à fonctionner comme auparavant jusqu'à ce qu'il soit informé de la prise de rôle grâce à la réplication entrante. La possession de rôles FSMO identiques par deux contrôleurs de domaine présente des risques connus, tels que la création d'entités de sécurité ayant des réserves RID à chevauchement.

http://support.microsoft.com/library/images/support/kbgraphics/public/en-us/uparrow.gifRetour au début

Transfert de rôles FSMO

Pour transférer les rôles FSMO à l'aide de l'utilitaire Ntdsutil, procédez comme suit :

1.

Ouvrez une session sur un ordinateur membre Windows 2000 Server ou Windows Server 2003 ou sur un contrôleur de domaine situé dans la forêt où les rôles FSMO sont transférés. Nous vous conseillons de vous connecter au contrôleur de domaine auquel vous assignez des rôles FSMO. L'utilisateur connecté doit être membre du groupe Administrateurs d'entreprise pour pouvoir transférer des rôles de contrôleur de schéma ou de maître d'opérations des noms de domaine, ou membre du groupe Administrateurs de domaine du domaine où les rôles d'émulateur PDC, de maître RID et de maître d'infrastructure sont transférés.

2.

Cliquez sur Démarrer, sur Exécuter, tapez ntdsutil dans la zone Ouvrir, puis cliquez sur OK.

3.

Tapez roles, puis appuyez sur ENTRÉE.

Remarque Pour afficher une liste des commandes disponibles aux invites de l'utilitaire Ntdsutil, tapez ? et appuyez sur ENTRÉE.

4.

Tapez connections et appuyez sur ENTRÉE.

5.

Tapez connect to server nom_serveur, puis appuyez sur ENTRÉE, où nom_serveur est le nom du contrôleur de domaine auquel vous souhaitez assigner le rôle FSMO.

6.

À l'invite server connections, tapez q, puis appuyez sur ENTRÉE.

7.

Tapez transfer rôle, où rôle est le rôle à transférer. Pour afficher une liste des rôles que vous pouvez transférer, tapez ? à l'invite fsmo maintenance, puis appuyez sur ENTRÉE, ou consultez la liste des rôles fournie au début de cet article. Par exemple, pour transférer le rôle de maître RID, tapez transfer rid master. L'unique exception concerne le rôle d'émulateur PDC, dont la syntaxe est transfer pdc, et non transfer pdc emulator.

8.

À l'invite fsmo maintenance, tapez q, puis appuyez sur ENTRÉE pour accéder à l'invite ntdsutil. Tapez q, puis appuyez sur ENTRÉE pour quitter Ntdsutil.

http://support.microsoft.com/library/images/support/kbgraphics/public/en-us/uparrow.gifRetour au début

Prise de rôles FSMO

Pour prendre les rôles FSMO à l'aide de l'utilitaire Ntdsutil, procédez comme suit :

1.

Ouvrez une session sur un ordinateur membre Windows 2000 Server ou Windows Server 2003 ou sur un contrôleur de domaine situé dans la forêt où les rôles FSMO sont pris. Nous vous conseillons de vous connecter au contrôleur de domaine auquel vous assignez des rôles FSMO. L'utilisateur connecté doit être membre du groupe Administrateurs d'entreprise pour pouvoir transférer des rôles de contrôleur de schéma ou de maître d'opérations des noms de domaine, ou membre du groupe Administrateurs de domaine du domaine où les rôles d'émulateur PDC, de maître RID et de maître d'infrastructure sont transférés.

2.

Cliquez sur Démarrer, sur Exécuter, tapez ntdsutil dans la zone Ouvrir, puis cliquez sur OK.

3.

Tapez roles, puis appuyez sur ENTRÉE.

4.

Tapez connections et appuyez sur ENTRÉE.

5.

Tapez connect to server nom_serveur, puis appuyez sur ENTRÉE, où nom_serveur est le nom du contrôleur de domaine auquel vous souhaitez assigner le rôle FSMO.

6.

À l'invite server connections, tapez q, puis appuyez sur ENTRÉE.

7.

Tapez seize rôle, où rôle est le rôle à prendre. Pour afficher une liste des rôles que vous pouvez prendre, tapez ? à l'invite fsmo maintenance, puis appuyez sur ENTRÉE, ou consultez la liste des rôles fournie au début de cet article. Par exemple, pour prendre le rôle de maître RID, tapez seize rid master. L'unique exception concerne le rôle d'émulateur PDC, dont la syntaxe est seize pdc, et non seize pdc emulator.

8.

À l'invite fsmo maintenance, tapez q, puis appuyez sur ENTRÉE pour accéder à l'invite ntdsutil. Tapez q, puis appuyez sur ENTRÉE pour quitter Ntdsutil.

Remarques

Dans des conditions normales, tous les cinq rôles doivent être assignés à des contrôleurs de domaine « live » dans la forêt. Si un contrôleur de domaine qui possède un rôle FSMO est mis hors service avant que ses rôles soient transférés, vous devez prendre tous les rôles sur un contrôleur de domaine approprié et sain. Nous vous recommandons de prendre tous les rôles uniquement lorsque l'autre contrôleur de domaine ne retourne pas au domaine. Si possible, réparez le contrôleur de domaine défectueux auquel les rôles FSMO sont assignés. Vous devez identifier quels rôles doivent être assignés à quels contrôleurs de domaine restants afin que les cinq rôles ne soient pas tous assignés à un même contrôleur de domaine. Pour plus d'informations sur le placement des rôles FSMO, cliquez sur le numéro ci-dessous pour afficher l'article correspondant dans la Base de connaissances Microsoft.

223346 (http://support.microsoft.com/kb/223346/) Placement et optimisation des rôles FSMO sur les contrôleurs de domaine Windows 2000

Si le contrôleur de domaine qui détenait auparavant un rôle FSMO n'est pas présent dans le domaine et si ses rôles ont été pris lors des étapes précédentes de cet article, supprimez-le de l'annuaire Active Directory en appliquant la procédure décrite dans l'article suivant de la Base de connaissances Microsoft :

216498 (http://support.microsoft.com/kb/216498/) Comment faire pour supprimer des données dans Active Directory après l'échec d'une rétrogradation de contrôleur de domaine

La suppression des métadonnées d'un contrôleur de domaine avec la version Windows 2000 ou Windows Server 2003 build 3790 de la commande ntdsutil /metadata cleanup ne déplace pas les rôles FSMO qui sont assignés à des contrôleurs de domaine « live ». La version Windows Server 2003 Service Pack 1 (SP1) de l'utilitaire Ntdsutil automatise cette tâche et supprime des éléments supplémentaires des métadonnées de contrôleur de domaine.

Certains clients préfèrent ne pas restaurer de sauvegardes d'état du système de détenteurs de rôle FSMO, de peur que le rôle ait été réassigné depuis que la sauvegarde a été effectuée.

Ne placez pas le rôle de maître d'infrastructure sur le même contrôleur de domaine que le serveur de catalogue global. Si le rôle de maître d'infrastructure est exécuté sur un serveur de catalogue global, il arrête la mise à jour des informations sur les objets car il ne dispose pas de références aux objets qu'il ne contient pas. Cela s'explique par le fait qu'un serveur de catalogue global comprend un réplica partiel de chaque objet de la forêt.

Pour vérifier si un contrôleur de domaine est également un serveur catalogue global, procédez comme suit :

1.

Cliquez sur Démarrer, pointez sur Programmes, sur Outils d'administration, puis cliquez sur Sites et services Active Directory.

2.

Double-cliquez sur Sites dans le volet gauche, puis recherchez le site approprié ou cliquez sur premier_site_par_défaut si aucun autre site n'est disponible.

3.

Ouvrez le dossier Servers, puis cliquez sur le contrôleur de domaine.

4.

Dans le dossier du contrôleur de domaine, double-cliquez sur NTDS Settings.

5.

Dans le menu Action, cliquez sur Propriétés.

6.

Sous l'onglet Général, vérifiez si la case à cocher Catalogue global est activée.

Pour plus d'informations sur les rôles FSMO, cliquez sur les numéros ci-dessous pour afficher les articles correspondants dans la Base de connaissances Microsoft.

197132 (http://support.microsoft.com/kb/197132/) Rôles FSMO de Windows 2000 Active Directory

223787 (http://support.microsoft.com/kb/223787/) Processus de transfert et de prise de rôles FSMO (Flexible Single Master Operation)

 

 

Il faut utiliser l’utilitaire en ligne de commande NTDSUTIL.

Cette procédure permet de forcer un contrôleur de domaine afin qui prenne le rôle FSMO souhaité. L’ancien contrôleur est donc hors ligne.

La procédure à suivre est la suivante:

Cliquez sur Démarrer, puis Exécuter...

Tapez cmd, puis NTDSUTIL

Ensuite tapez "roles", puis "connections".

Il est maintenant nécessaire de vous connecter sur le nouveau DC à l'aide de la commande "connect to server %nom-du-nouveau-dc%" .

Une fois la connection effectuée, tapez "quit"

La fonction seize permet de prendre le contrôle d’un rôle :

 

Seize domain naming master

Seize infrastructure master

Seize PDC

Seize RID master

Seize schema master

 

Une fois les transferts effectués, tapez quit jusqu'à retourner a l’invite de commande.

 

http://www.faqxp.com/f/i/256a.jpg

 

 

 

Note : La fonction transfert permet de transférer proprement un rôle.